lundi 6 juin 2016

Les orages de l'été de Tamara McKinley.

Salut les poussins,

Aujourd'hui:

Les orages de l'été de Tamara McKinley.

En 1947, accompagnée de Giles, son ami d’enfance secrètement amoureux d’elle, Olivia Hamilton retourne en Australie, où sa mère Eva vient de décéder.
Avant de mourir, cette dernière lui a transmis des documents qui ont ébranlé les certitudes de la jeune femme concernant ses origines. Sur place, Olivia retrouve sa sœur aînée Irène, qui cultive à son égard une franche hostilité. Les mystérieuses archives léguées par leur mère seraient-elles à l’origine d’une telle animosité ? Aidée par Maggie, la gérante de la pension où elle loge, Olivia percera un à un les secrets qui enveloppent son enfance.
Après une deuxième guerre mondiale mouvementée, Olivia quitte l'Angleterre pour le pays qu'elle a abandonné alors qu'elle n'avait que dix ans: l'Australie. Sa mère vient de mourir et dans ses papiers, quelques mystères familiaux à identifier. Dans la petite ville de Trinity, Olivia compte bien découvrir la vérité sur sa mère et sur elle-même, tout ça accompagnée de Gilles, son ami de toujours, et de Maggie, une nouvelle amie bien différente d'elle mais incroyablement courageuse..


J'adore Tamara McKinley. Je pourrais le dire mille fois, d'ailleurs je crois que c'est déjà fait. Chacun de ses romans me plonge dans des contrées lointaines et dépaysantes, dans des histoires de familles compliquées voir même impénétrables.. Tout ce que j'aime! 

Beaucoup d'héroïnes féminines, comme d'habitude. Les flash-black se mêlent au présent ce qui fait qu'au début on s'y perd parfois un peu mais ça rentre très vite. Nous avons Eva, une jeune lady qui a quitté l'Angleterre pour vivre en Australie avec son grand amour. Irène, sa fille, une garce impitoyable que l'on déteste dès les premières lignes. Olivia, son autre fille, une infirmière un peu guindée mais terriblement attachante. Enfin Maggie, abandonnée de tous durant sa vie et qui reste malgré tout une battante, la plus courageuse de toutes. Toutes se croisent, mélangeant passé et présent, se détestant, se haïssant, s'aimant.. On les apprivoise, on apprend à les connaître et on s'attache, forcément. (Enfin, sauf à la vilaine Irène bien évidemment.)

Comme toujours, tout le récit est porté par un grand mystère familial qui s'emberlificote au plus on avance dans le roman. Les questions deviennent de plus en plus nombreuses, les théories aussi.. Et j'avoue que pour une fois j'ai très vite découvert la vérité, ce qui m'a un poil déçue en lisant la fin, rien de grave, peut-être m'habitues-je à l'esprit tordu de Tamara McKinley? En tout cas cela n'a en rien terni l'image que je me fais de ce roman.

Hormis ces fameux questionnements, d'autres choses m'ont énormément plu. Les personnages secondaires par exemple, qui prennent peu de place mais qui sont marquants et attachants. Bien sûr, le contexte est incroyable également, j'ai adoré découvrir le côté côtier de l'Australie dont on a plutôt l'habitude de voyager dans les grandes plaines rougeâtres et indomptables. 

Encore une réussite donc, un sans faute pour cette auteure que j'adore un peu plus encore à chaque lecture si c'est possible. Je me réjouis à chaque parution alors j'ai juste envie de dire: encore, et vite!


Des bisous! 

3 commentaires:

  1. Je deviens de plus en plus curieuse vis à vis de cette auteur de ses romans. Je pense que je vais bientôt me lancer.

    RépondreSupprimer
  2. J'ai hâte de m'y plonger ! Moi aussi, je l'adore ! Et cette couverture... Bon, elles sont toutes superbes, mais celle-ci... waouh !

    RépondreSupprimer
  3. Je ne connais pas Tamara McKinley, mais j'avoue, j'ai bien envie de tenter et ce roman-là m'attire ! ! Je le note !

    RépondreSupprimer