jeudi 3 avril 2014

Les Duracuire: L'attaque des langues qui brûlent d'Arthur Ténor et Roland Garrigue.

Salut les poulets,

Aujourd'hui:

Les Duracuire: L'attaque des langues qui brûlent d'Arthur Ténor et Roland Garrigue.


Après une énième dispute, les enfants Duracuire se retrouvent dans une grande plaine complètement asséchée. Soudain, un grondement. Serait-ce les Géants Noirs? Ces ombres dans le ciel forment des éclairs et font tomber la pluie lors de combats effrayants. Malheureusement, les Géants Noirs vont cette fois allumer un incendie et les enfants devront redoubler d'ingéniosité pour se tirer de ce mauvais pas. 

Je découvre aujourd'hui cette saga de la collection Mes premiers romans, des petits livres destinés aux jeunes lecteurs. De vrais textes mais avec tout de même beaucoup d'illustrations histoire de ne pas les noyer sous une tonne de caractères! 

Les Duracuire semble être une saga complètement hallucinante avec un humour décapant qui saura sans aucun doute plaire aux minis d'hommes. Il faut tout de même avoir un certain âge pour comprendre les blagues et les jeux de mots ainsi que pour avoir le courage de lire autant malgré de chouettes séparations niveau chapitres qui permettent de ne pas lourder le tout. Sinon, on se laisse porter par une ambiance riche en testostérone! Bah oui, même les filles de la tribu doivent savoir se défendre des Mange-Grogrogneux, ces vilaines bestioles à éviter coûte que coûte! Les hommes préhistoriques ont tendance à plaire assez facilement mais là c'est vraiment bien aborder, avec ces bonhommes qui comptent leur âge en pommes ou qui portent des noms assez étranges. (Mèmpaspeur par exemple!)

Et puis bon, faut avouer que l'histoire est vraiment bien présentée par des illus très chouettes et qui correspondent très bien à cet univers. (Bien qu'un peu sombres pour être prises correctement par mon appareil photo tout pourri, pardon pardon.) Les personnages ont tous des têtes assez.. intéressantes. Haem.

Bref, à conseiller à tous les demi-boutchou!



Merci aux Éditions Nathan,

Des bisous!

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